Le mal qui vient, essai hâtif sur la fin des temps

Simultanément, le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)et les scores de Jair Bolsonaro, le candidat de l’extrême droite dans la présidentielle brésilienne font la une. Dans « Le mal qui vient, essai hâtif sur la fin des temps », publié aux Editions du Cerf en septembre 2018, Pierre-Henri Castel, développe l’idée qu’une fin apocalyptique de l’humanité est inéluctable et jette une lumière particulière sur ces informations.

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Le rapprochement que Castel opère entre les dérèglements climatiques et les dérèglements économiques, sociaux et politiques suggère qu’il y a peut-être un lien entre le processus de catastrophes climatiques en cours et la montée de l’extrême droite. Sans souscrire à sa thèse sur la fin inéluctable de l’humanité, ce qu’il nomme « Le mal qui vient », on peut retenir comme piste exploratoire le lien qu’il fait entre les phénomènes climatiques et les évolutions politiques, économiques et sociales.

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